• Secteur : Ingénierie électrique
• Effectif : env. 40
• Lieu : Zurich, Suisse

Le défi : Tout fonctionne — mais pas toujours sans accroc

« Beaucoup d’entreprises sous-estiment encore le potentiel des outils digitaux — pour nous, c’est un véritable avantage stratégique », explique Nicolas Eindiguer, directeur général des sociétés du groupe. Responsable de la digitalisation, Nicolas accompagne chaque nouvelle solution dès son implantation, en lien étroit avec les équipes terrain.

Avant Benetics, le quotidien était rythmé par des papiers, des e-mails et des coups de fil — générant des questions et un travail supplémentaire évitable. « Qu’est-ce qui a été fait ? Qu’est-ce qu’il reste ? Qui s’en charge ? », raconte Simon Brodbeck, chef de projet. « Si la planification ne colle pas avec la réalité du chantier, ça devient vite critique — et c’est la direction de projet qui encaisse. »

Petit départ — Grand impact

Benetics a d’abord été testé sur une seule équipe. « Pour nous, il fallait surtout que ce soit simple et que ça réduise la complexité », précise Simon. « Et c’est exactement ce que Benetics a apporté : les équipes ont vite pris le pli, et les avantages ont été visibles immédiatement. On l’a donc déployé à grande échelle. »

Moins de friction, plus de revenus

Un exemple typique : Un ouvrier reçoit une nouvelle tâche sur le chantier. Avant, cela passait par des consignes verbales, des notes papier — et l’incertitude sur la bonne compréhension. Avec Benetics, tout a changé : « Je vois tout de suite ce qui est fait ou reste à faire », explique Simon. « Si je dois adapter ou transmettre une tâche, je le fais directement dans l’application — sans détour, et tout le monde comprend. »

Les rapports ont aussi été largement simplifiés — avec un effet positif sur le chiffre d’affaires. « Une prestation supplémentaire, hors contrat initial, doit être saisie rapidement pour être facturée. Sinon, c’est de l’argent perdu — et c’est un problème courant », précise Nicolas. Aujourd’hui, les ouvriers saisissent leurs rapports en quelques secondes, simplement par commande vocale.

« Nous avons des collaborateurs de diverses origines », ajoute Simon. « Grâce à l’assistant vocal et à la traduction automatique, ils peuvent enregistrer leur travail dans leur langue maternelle — avec photos à l’appui. Le chef de projet reçoit toutes les infos en quelques secondes. Avant, ça ne marchait jamais aussi bien. »

Les trois plus grands avantages de Benetics selon Züri Elektro :

• Communication simplifiée entre chantier et bureau : Tout le monde est à jour, sans allers-retours ni malentendus.‍
• Conservation des informations : La saisie facile garantit une meilleure centralisation des données — et une qualité accrue.‍
• Meilleur contrôle des prestations et de la facturation : Les rapports sont saisis immédiatement — la documentation transparente permet d’augmenter les revenus.

Cas concret : L’église Saint-Pierre, Zurich

Un projet complexe avec de nombreux acteurs : Lors de la rénovation de l’historique église Saint-Pierre, Züri Elektro était responsable des travaux électriques. La communication ne se limitait pas aux équipes internes — le bureau d’étude était pleinement impliqué.

Lors du démontage des anciens câbles, le planificateur voulait savoir s’ils pouvaient être réutilisés pour des micros à la chaire. La question a été enregistrée directement dans Benetics, avec photos et détails. Le planificateur a eu tout de suite ce dont il avait besoin. « Voilà ce que j’appelle une vraie collaboration digitale », conclut Simon.

Conclusion : Des bénéfices clairs, des résultats concrets

« Benetics apporte une vraie valeur ajoutée à l’exécution des projets — sur le chantier comme au bureau », souligne Nicolas. Simon ajoute : « Avant, les ouvriers râlaient sur les rapports. Aujourd’hui, ils les font eux-mêmes — parce que ça marche tout simplement. »

Prochaine étape : Le déploiement progressif de la solution dans d’autres sociétés du groupe. « Avec Benetics, nous avons un partenaire qui ne se contente pas de livrer, mais qui pense chaque évolution à nos côtés », conclut Nicolas. « C’est une aventure commune. »